LÉON ROBIN - THÉORIE PLATONICIENNE DES IDÉES ET DES NOMBRES D’APRÈS ARISTOTE

LÉON ROBIN - THÉORIE PLATONICIENNE DES IDÉES ET DES NOMBRES D’APRÈS ARISTOTE

TABLE DES MATIERES*
Pages
Table des auteurs consultés................. xi-xvii
§1-6. — Introduction.—Objet et Méthode . . .    (/-S) 1-10
LIVRE PREMIER
§ 7. - LA THÉORIE DES IDÉES...................(9)    11-12
PREMIÈRE PARTIE
La Nature et le Mode d’existence des Idées.
Chapitre I. — L’exposition d’Aristote.
§8. — I) L'origine de la théorie des Idées ....    (10) 13-14
§ 9-16. — II) Les Arguments platoniciens en faveur de l'exis-
tence des Idées...................................15-25
§ 9 L’argument des sciences (15 — 11, IS). — § 10 L’argument de l'unité d’une multiplicité (il, 13). — § 11 Argument de la persistance de la notion après la disparition de l’objet (18, /4). — § 12 Autres argumente indiqués par Aristote, exposés par Alexandre (18, 15} : — S 13 l’argument des relatifs (19 — 16, /Г'); — § 14 l’araument de l’attribut commun [troisième homme] (21, 18). —§ 15-10 Diverses autres raisons d’admettre des Idées (23 — 1D-21).
§ 17-18. - Ш) Les Idées sont des Universaux érigés en Substances, des Quiddités séparées du Sensible................
(22-27, 26*) 26-29

Chapitre II. — Les objections d’Aristote relativement a LA NATURE ET AU MODE D’EXISTENCE DES IDÉES.
§ 19-27. — I) Les Idées comme Universaux érigés en Substances.................................................30-50
§ 20 L'Universel est nécessaire à la Science (30 — 38-30). — § 21 Mais (’Universel, étant quelque chose d’extrinsèque et d’accidentel, ne doit pas être érigé en substance (32 — 31, 3S). — § 22-23 Érigé en substance, l’Universel devient quelque chose d’individuel et, par suite, les Idées, étant substances individuelles, ne peuvent être principes (34 - 33-37). — § 24-26 En tant que substances individuelles, les Idées ne peuvent être définies et même elles rendent incompréhensible la constitution des notions et leur ordination (37 — 38-48) — § 27 L’Universel, envisagé comme élément de la Quiddité n’est pas non plus une substance; conséquences diverses; objection du troisième homme (47 — 49-5Г).
§ 28-33. — II) Les Idées comme Quiddités séparées . .    50-68
§ 28-30 D'une façon générale, il n’est pas possible de séparer d'une chose la quiddité de cette chose (50 — 53-61). — § 31 11 est illégitime de donner à la Forme une existence indépendante de la Matière (58 — 63-68). — § 32 Les Idées sont de simples puissances (63, 69). — § 33 Absurdité de la séparation de la Quiddité par rapport à l’explication des choses sensibles (64 — 70-73).
§ 34-37. — Chapitre III. — Remarques sur cette partie de la polémique d’Aristote............................(74-83)    69-72
DEUXIÈME PARTIE
La Causalité de l’idée.
§ 38-40. — Chapitre I. — Exposition critique des théories de la Participation et du Paradigmatisme. (84-88) 73-80
Chapitre II. — La polémique d’Aristote contre la théorie de la Participation
§ 41. — I) Conséquences absurdes de la Participation. . . (89-92) 81-86
§ 42-43. — II) Inutilité de la Participation .    (93-100) 86-92
§ 44-45. — III) Incompatibilité de la nature de Vidée avec les
conditions du Devenir.......................(101-102)    93-97
Chapitre III. — Examen de la polémique d’Aristote contre les théories de la Participation et du Paradigmatisme.
§ 46-50. — I) Les Idées ne peuvent être participées en tant qu’elles sont des Substances individuelles. (103-111) 98-104

§ 51-53. — II) Les Idées ne peuvent être participées en tant que Quiddités séparées.......................(112-114) 104-106
§ 54-60. — III) Les Idées ne peuvent être causes du Mouvement et du Changement..........................................106-114
§ 64 Y a-t-il incompatibilité entre la nature de l’idée et l’action causale? (106 — 115-119). — § 55 La Participation revient-elle à dissoudre la substantialité de l’idée (108, 120)1 — § 56 En quel sens faut-il entendre la séparation de l’idée?(108 — 121-122). — § 57-59 Aristote est-il en droit de prétendre que les Idées ne peuvent être causes, en tant qu’elles sont des formes ? La cause formelle — Formes naturelles et formes artificielles (HO — 123-128). — § 60 Equivoque sur le mot puissance (114, 129-131).
§ 61-63. — IV) Le Paradigmatisme et la Participation sont des conceptions inintelligibles...........................115-120
S 61-62 Le Paradigmatisme (H5 — 132-142). — § 63 La Participation (118 — 143-149).
TROISIÈME PARTIE
L’étendue du monde des Idées.
§ 64. — Chapitre I. — L’exposition d’Aristote........
(150-152*) 121-126
Chapitre II. — Les objections d’Aristote relativement a l'étendue du mondé des Idées.
§ 65. — I) Celte étendue est trop restreinte, car certains genres en sont arbitrairement exclus. . . .    (/53-157) 127-130
§ 66-78. — П) Certaines notions sont introduites à tort dans le monde des Idées : le Bien, L'Etre et l'Un ....    131-172
§ 66 Le Bien (131 — 158-159). — § 67-71 L’Être et l’Un (133 — 160-166). — § 72 L’Être et l’Un sont des notions qui se prennent en une pluralité d’acceptions (142 — 167-170). — § 73 L’homonymie de leurs acceptions diverses se fonde néanmoins sur une certaine communauté de nature (151 — 171). — § 74-76 L’Être, l’Un et le Bien ne sont pas des Idées, parce que ce sont des choses dans lesquelles il y a de l’Anlérieur et du Postérieur (154 — 172, 173). —§77 Conclusion sur l’Être, l’Un et le Bien (ПО). — .§ 78 Rien de ce qui n’est pas substance ne peut avoir place dans le monde des Idées (171 — 174").
§ 79. — Chapitre 111. — Interprétation des objections d’Aristote relativement a l’étendue du monde des Idées.173
§ 80-90. — 1) Objections relatives ù la limitation arbitraire du monde des Idées ............    173-190
§ 80-81 Les choses artificielles (173 — 175-179). — § 82-85 Les Négations, le Non-Être (181 — 180-187). — § 86-87 Les choses individuelles (187 — 188-191). — §88 90 Les Relatifs (188 — 192-196).

§ 91-98. — II) Objections relatives à l'extension arbitraire du monde des Idées.................................191-198
§ 92-93 Lee accidents et les qualités (191 — 197). — § 94-98 L’Un, l’Être et le Bien; retour sur la question de l’Antérieur et du Postérieur (192 — 198-210).
LIVRE DEUXIÈME
§99.— LA THÉORIE PLATONICIENNE DES NOMBRES
ET DES FIGURES........................(£//) 199-202
PREMIÈRE PARTIE
Les choses mathématiques.
Chapitre I. — Nature intermédiaire des choses mathématiques. Exposition et critiques d’Aristote.
g 100-101 Exposition de la doctrine (203 —    — g 102-
ЮЗ Ce qu’elle a de fondé par rapport aux théories qui fout les choses mathématiques immanentes au Sensible; ou immanentes et transcendantes à la fois (207 — 216-217). — g 104-106 Critique de la théorie des choses mathématiques : en tant que proprement intermédiaires (210 — 218-221); — g 107-110 en tant que substances séparées en général (216 — 222-229). — g 111-112 La doctrine platonicienne de la génération des grandeurs mathématiques ; le Point et la Ligne insécable (226 — 240 24.?). — g 113-125 Critique de la théorie de la génération des grandeurs à partir du Point, au point de vue mathé-mathique et au point de vue physique (233 — 24',-219).
§ 126-129. — Chapitre II. — Remarques générales sur la PORTÉE DE LA POLÉMIQUE D’ARISTOTE CONTRE LA THÉORIE MATHÉMATIQUE DE Platon................(250-2Ö3) 260-26Ö
DEUXIÈME PARTIE
Les Nombres idéaux et les Grandeurs idéales.
Chapitre I. — L’exposition de la doctrine.
§ 130-135. — I) La théorie des Nombres idéaux . .    £07-280
g 130-132 Nature des Nombres idéaux; la Décade <267 — 2
g 133 Principes générateurs des Nombres idéaux : l i n on l'Eg.il et la Dyade du Grand et Petit, ou l'inéual ; la Dyade indéfinie : autres dénominations du principe matériel (276 — 260-261'). — g 134-135 La génération des Nombres idéaux (277 — 262-266').

§ 136-138. — II) La théorie des Grandeurs idéales. .    286-293
§ 136 Leur nature: leur rapport avec lee Nombre» idéaux (286 — 267-270). — § 137-138 Génération des Grandeurs idéales ; leurs principes (290— 271, 272).
§ 139 142. — III) La causalité des Nombres idéaux et des Grandeurs idéales........................................ 294-313
S 139 140 La génération du Cosmos intelligible et des choses particulières (294 — 272). — § 141 Parallélisme des objets de la connaissance et des facultés cognitives (308 — 274). — § 142 Génération du Vide, de la Proportion, de l'impair, du .Mouvement et du Repos, du Bon et du Mauvais dans les limites de la Décade (312 — 275).
§ 143-144. — Chapitre II. — Les objections d’Aristote CONTRE LA THÉORIE DES NOMBRES IDÉAUX ET DES GRANDEURS IDÉALES.....................................(376, ^77)315-320
§ 145-154. — I) Objections relatives à l'existence et à la nature des Nombres idéaux................................ 320-348
§ 145 Difficultés spéciales provenant dans la présente théorie de la séparation de l’Essence (320 — 278-280). — § 148 Les Nombres ne peuvent être éternels, étant formés d’éléments (324 — 284). — S 147 Incompatibilité de la nature du Nombre idéal avec l'unité absolue de la Substance idéale (326, 282). — § 148 En quoi est-il légitime, en quoi est-il illégitime de rapprocher les Nombres des Substances? (327 — 288).— § 149 Difficultés relatives a l'existence des unités constituantes des Nombres idéaux (329 — 284): — S 150 au rapport de ces unités entre elles (333 — 285); — S 154-152 à la coneécution des Nombres et à la formation de leur série (335 — 286-290). — § 153 La doctrine ne peut expliquer ('unification dans le Nombre des éléments dont il est formé (344 — 291, 292). — § 154 Quelques conséquences absurdes de cette doctrine (347 — 298, 294).
§ 155-157. — II) Objections relatives aux rapports des Nombres idéaux avec les Idées considérées comme distinctes des Nombres.....................................(295, 296) 349-353
g 158-160. — III) Objections relatives à la causalité attribuée
aux Nombres idéaux................................... 354-362
S 158-159 En ce qui concerne la Causalité en général (354— 297-299); — g 180 par rapport aux diverses sortes de causes (357 — 800-802).
§ 161-164. — IV) Objections relatives aux Grandeurs idéales.
363-371
§ 165-169. — V) Objections relatives à la génération des Nombres idéaux.....................................(303-307)    372-389
S165 Le procédé de génération décrit par les Platoniciens est inconcevable (372 — 808-810). — § 168-167, Difficulté fondamentale rela-
tivemeut au rôle assigné au principe matériel en général et particulièrement à la Dyade (374— 31 1-315). — §168 On n'explique pas de quelle façon s'unissent le principe matériel et le principe formel pour former le Nombre idéal (378 — 316, 31 7). —§ 169 11 est arbitraire et absurde de limiter à la Décade la série des Nombres (382 — 318).
§ 170*184. — VI) Objections relatives aux principes des Nombres idéaux ................................... 390-421
§ 170 La nature deces principes est mal déterminée : (392, 319). — § 171-177 le principe formel (392 — 320-327) ; — § 178-184 le principe matériel (405 — 328-334).
§ 185. — VII) Conclusion.
Chapitre III. — Caractères de la polémique d’Aristote CONTRE LA THÉORIE DES IDÉES-NOMBRES ET DES GRANDEURS idéales. Signification de cette théorie.
§ 186-193. — I) Caractères de la polémique d'Aristote . . .
(336-339)427-441
§ 188-190. Le vice commun de tous ses arguments, c'est la confusion du Nombre idéal et du nombre mathématique, du point de vue qualitatif et du point de vue quantitatif (434 — 340-344). — § 191-193 Cette confusion s’expliquerait par ce fait qu’Aristote a surtout pensé à Xénocrateen critiquant la théorie des Nombres idéaux (435 — 345-351).
§194-210. — II) Essai d’interprétation de la théorie des nombres idéaux.................................... 442-468
§ 194-198 Rôle de l’Un dans la génération des Nombres qui constituent la Décade; comment on peut comprendre celte génération (442 — 352-359). — § 199-201 Quelles raisons ont pu conduire Platon à surajouter une théorie des Nombres idéaux à sa théorie des Idées (450 — 360-363). — § 202-205 Comment on peut concevoir les rapporte des Nombres idéaux avec les Idées? Trois solutions possibles; vraisemblance de celle qui fait les Nombres antérieurs aux Idées (453 — 364-379). — § 206-208 Avantages de la solution proposée pour faire comprendre ce qu’est une Idée; pourquoi il y a une pluralité d'idées ; pourquoi elles font une hiérarchie ; ce qu’est enfin la Participation (460 — 380-390). — § 209 Rapport de la théorie des Nombres idéaux avec la théorie des nombres mathématiques et interprétation de cette dernière (464 — 391-394). — § 210 Conclusion (467 — 395-396).
§ 211-218. — III) Le problème des Grandeurs idéales. La théorie de la уйрл............ •    468-478
§211-213 Rôle et place des Figures idéales dans la hiérarchie de l’Ètre (468 —397-400). — § 214-215 Ces Grandeurs dérivent immédiatement de la Décade des Nombres idéaux au moyen d'uu principe matériel, le Vide ou l’intervalle, qui est dans la Décade, et d'un
principe formel, la Ligne insécable, équivalent de l’Un (470 — 401-406). - § 216-218 La notion de la -/wpa; ses diverses formes (474 — 407-414).
§ 219-233. — IV) L'Ame du monde. Son rôle d'intermédiaire.
479-498
§ 219-220 Le rôle de l'Ame universelle d’après l'exposition d’Aristote (479 — 415-420). — § 221-224 Cette Ame, lieu des Idées, est l'âme d'un Cosmos intermédiaire par lequel le monde sensible est relié au monde idéal ; avec elle sont introduite dans la sphère intermédiaire, à côté des relations mathématiques, le Mouvement, la Vie et la Pensée; généralité de la théorie des peraÇv (483 — 421-430). — § 225 Rapport des fonctions cognitives et des fonctions motrices de l’Ame (488 — 431-433). — § 226 232 Fondement idéal de la Vie, du Mouvement et de la Pensée (491 — 434-446). — § 233 Conclusion (497 — 447).
LIVRE TROISIÈME
LES PRINCIPES
§ 234-240. — Chapitre I. — L’exposition d’Aristote. 499-514
§ 234 Résumé des expositions antérieures relativement aux Principes (499 — 448). — § 235 L’opposition Être, Non-Ètre et l’opposition Un, Multiple (501 — 449). — § 236 Le Non-Être et le Faux (503, 450). — § 237-239 Rapport des Principes avec le Bien et le Beau ; l’Un et le Bien : Platon et Speusippe (504 — 451-455). — S 240 Les Principes sont des Contraires et tout naît des Contraires (511 — 456).
Chapitre II. — Les objections d’Aristote contre la théorie PLATONICIENNE DES PRINCIPES.
§ 241-242. — I) La nature et la relation des Principes . . . {457-459} 515-516
§ 243-247. — II) Le principe formel.................516-533
§ 243-246 L'Un et l’Être ne peuvent être pris pour Principes, soit qu’on les envisage comme principes universels (517 — 460-477}, — S 247 soit qu'on les envisage comme principes individuels (529 — 478-481).
§ 248-258. — III) Le principe matériel.............. 533-553
§ 248-253 Difficultés et insuffisances de la théorie platonicienne du Non-Être : il ne fallait pas le spécifier comme étant le Relatif (532 — 482-494). — § 254-257 Fausse théorie de la Génération ; les Contraires ne peuvent être le sujet du changement; véritable rôle de la Privation et de la Matière (548 — 495-505). — § 258 Incompatibilité de lexistence d'une Matière dans les principes des Nombres idéaux et des Idées, avec l’éternité qu'on leur attribue (552— 506).

§ 259. — IV) Comment s’unissent les Principes? (507) 553-554 § 260-271. — V) La Cause motrice et la Cause finale. Le Bien.
554-568
§ 260 11 faut une cause motrice, troisième principe, au-dessus des deux autres (554, 508). — § 261-263 Ce ne sera pas le Bien des Platoniciens, car il a été conçu par eux d'une façon incorrecte comme un Genre (554 — 509-519). — tj 264-265 S’il est vrai, contrairement à l’opinion de Speusippe, que le Bieu soit principe, du moins c'est en tant que Bien, non en tant qu'Un. comme l'a voulu Platon (557 — JM-J/J). — § 265-271 Conséquences de celte opinion : la plus grave, c’est que, les principes étant des Contraires, le principe opposé à l’Uu-Bien devra être le Mal en soi (559 — .î/ô-5j?5).
§ 272. — Chapitre III.— EXAMEN DE QUELQUES-UNES DES OBJECTIONS d’AHISTOTE CONTRE LA THÉORIE PLATONICIENNE DES Principes..................................................569
§ 273-275. — I) La nature des Principes. (526-530) 570-571 § 276-280. — 11) Le Bien et le Mal par rapport aux Principes.
(5 31 -54 /) 571-580
§281-283. — III) Le premier Principe .    (545-553) 580-584
§ 284-290. — CONCLUSIONS • • •    (554, 5 5 5) 585-602
NOTES REJETÉES A LA EIN DU VOLUME
Note 17 (page 21). — L'argument des Belatifs. . . .    603-605
Note 26 (page 29). — Synonymie des choses sensibles à l'égard
des Idées........................................ 605-608
Note 51 (page 50). — L'objection du « troisième homme ».    609-612
Note 152 (page 126). — La relation d'Antérieur à Postérieur
dans la philosophie d'Aristote et dans Г exposition aristotélicienne du Platonisme,..........................612-626
A) Les Platoniciens n’admettaient pas d'idées des chose? dont il y a de l'Antérieur et du Postérieur, donc pas d’idée des Nombres (612) = B) La doctrine d'Aristote sur les espèces de l’Antérieur et du Postérieur (612—) z= G) Il n'y a pas, suivant Aristote, de geure commun des choses dans lesquelles il n'y a de l'Avaut et de l'Après (614—) = D) Raisons pour lesquelles il eu est ainsi (616—) = E) Application de cette doctrine aux Nombres platoniciens : aux Nombres mathématiques ou aux Nombres idéaux ? (618 —) = b ) Critique de la théorie de Zeller (619—) = G) Conclusion : l’assertion d’Aristote s’applique aux Nombres mathématiques. Rapport de cette conception avec la théorie des Nombres idéaux (624—)

Note 174 (page 172). — 11 ne peut y avoir Idée que des Substances ................................................... 627-634
Note 261 (page 277). — Les principes des Nombres idéaux. 635-660
A) Texte» dans lesquels Platon est nommé et d'après lesquelles les principes des Nombres seraient l’Un et la Dyade du Grand et du Petit (635—) = B) Textes où Platon n'est pas nommé, mais cependant clairement désigné et où les mêmes principes sont mentiounés (631—) = C) Autres témoignages moins précis, paraissant encore se rapporter à Platon. L'Inégal et la Dyade de l’inégal (638—) = D) La Dyade iudé-ünie; cette dénomination appartient-elle a Platon? (641—\ = E) Elle n’appartient pas a Xénocrate seul (653—) = F) Les antres dénominations du principe matériel : a) ; cette dénomination appartient-elle a Speusippe? (654—) = b) ноли xat ôXiyôv (65<>—) — c) unspé/ov xod •jnepe/opevov (651—) = d) ërepov, ôtXXo (660—)
Note 266 (page 285). — La génération des Nombres idéaux impairs. La nature du premier Un............................. 660-668